Le taux de mortalité global est supérieur chez les hommes :

21 % contre 14 % chez les femmes, mais cela ne signifie pas que les hommes sont plus fragiles que les femmes, les hommes ayant le même âge ont le même taux de mortalité globale à 5 ans que les femmes à 5 ans.

Par contre, il y a plus de décès par cancer du poumon et du côlon chez les hommes que chez les femmes, et le nombre de nouveaux cas de cancer du poumon augmente en faveur des hommes.

Chez les hommes, la survie globale est plus mauvaise que chez les femmes, mais il y a un risque réduit de rechute locale :

34 % contre 47 % dans le groupe de femmes

On note une différence statistiquement significative entre les deux groupes pour les récidives locales :

37 % contre 48 %

Le taux de mortalité spécifique à chaque cancer est inférieur chez les hommes :

4 % contre 5 %

Il y a plus de décès par cancer de la prostate et du côlon que par le cancer du sein, mais la survie globale est similaire chez les deux sexes à 5 ans.

L’histologie montre que le risque de mortalité spécifique à chaque cancer est différent :

Il y a plus de décès par cancer du sein et du côlon que par le cancer de la prostate, mais la survie globale est similaire pour les deux sexes à 5 ans.

Les hommes ont moins de récidives localisées de cancer du poumon :

29 % contre 43 %

Le taux de mortalité spécifique à chaque cancer du poumon est supérieur chez les hommes, mais la survie globale est identique dans les deux groupes :

18 % contre 19 %

Par ailleurs, il y a une plus grande fréquence de la mortalité spécifique à chaque cancer chez les hommes, mais la survie globale est identique pour les deux sexes à 5 ans.

La mortalité spécifique à chaque cancer est plus faible que la mortalité globale :

6 % contre 8 %

Il y a plus de décès par cancer du sein et du côlon que par le cancer de la prostate, mais la survie globale est identique pour les deux sexes à 5 ans.

La mortalité spécifique à chaque cancer est plus élevée chez les hommes :

12 % contre 16 %

Il y a plus de décès par cancer du poumon et du côlon que par le cancer de la prostate, mais la survie globale est identique pour les deux sexes.

La mortalité spécifique à chaque cancer est plus élevée que la mortalité globale :

7 % contre 10 %

L’incidence et la mortalité spécifique à chaque cancer sont plus faibles chez les hommes :

5 % contre 6 %

Les hommes ont une incidence plus élevée de cancer du sein, mais ont un taux de mortalité global supérieur à celui des femmes.

La survie globale des femmes est identique à celle des hommes à 5 ans :

12 % contre 14 %

Chez les hommes, le taux de survie spécifique au cancer du sein est plus faible que la survie globale, mais il y a une différence statistiquement significative entre les deux groupes à 5 ans :

19 % contre 24 %

Il y a plus de décès par cancer du sein et du côlon que par le cancer de la prostate, mais la survie globale est identique pour les deux sexes.

La survie spécifique à chaque cancer est plus faible que la survie globale :

4 % contre 6 %

Il y a une différence statistiquement significative entre les deux groupes pour les décès par cancer du poumon et du côlon :

28 % contre 33 %

La survie spécifique à chaque cancer est inférieure à la survie globale :

7 % contre 11 %

10 % contre 14 %

La survie spécifique à chaque cancer est supérieure à la survie globale :

38 % contre 49 %

39 % contre 56 %

Il existe donc des différences statistiquement significatives en faveur des hommes :

5 % contre 13 %

29 % contre 33 %

28 % contre 31 %

38 % contre 42 %

Chez les hommes, le taux de décès par cancer du poumon est plus élevé que le taux de survie globale.

42 % contre 49 %

Il y a plus de décès par cancer du poumon que par le cancer de la prostate, mais la survie globale est identique pour les deux sexes.

19 % contre 25 %

Il existe des différences statistiquement significatives en faveur des hommes :

29 % contre 35 %

Il y a plus de décès par cancer du sein que par le cancer de la prostate, mais la survie globale est identique pour les deux sexes.

Les traitements de la maladie de Parkinson comprennent des médicaments pour soulager les symptômes de la maladie. Le syndrome de Parkinson est un trouble du mouvement qui touche environ une personne sur 100. La maladie de Parkinson est la plus fréquente des maladies neurodégénératives liées à l'âge. Le syndrome de Parkinson est l'une des deux causes principales de la maladie d'Alzheimer. Le syndrome de Parkinson est une maladie neurodégénérative qui touche environ une personne sur 100.

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Cela comprend la maladie de Parkinson, la maladie d'Alzheimer et le trouble bipolaire de type 2. Il existe plusieurs médicaments pour traiter ces maladies, mais le choix d'un traitement dépend de nombreux facteurs. Certaines personnes peuvent avoir besoin de médicaments pour traiter une maladie spécifique, tandis que d'autres peuvent avoir besoin de médicaments pour traiter les symptômes de plusieurs maladies. Les médicaments peuvent également avoir des effets secondaires potentiels qui doivent être pris en compte avant de décider d'un traitement. Les médicaments les plus couramment utilisés pour traiter la maladie de Parkinson comprennent les inhibiteurs de la cholinestérase et les inhibiteurs de la dopamine.

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L'objectif est de réduire le risque de récidive de la maladie.

La maladie de Parkinson est une maladie neurodégénérative qui affecte le fonctionnement des muscles, des nerfs et du cerveau. La maladie de Parkinson est la deuxième cause de décès dans le monde après le cancer.

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Les traitements médicaux peuvent être efficaces pour soulager les symptômes de la maladie de Parkinson, mais ils ne traitent pas la cause sous-jacente.

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Les médicaments pour le traitement de la maladie de Parkinson comprennent les inhibiteurs de la cholinestérase et les inhibiteurs de la dopamine.

Les médicaments peuvent avoir des effets secondaires potentiels qui doivent être pris en compte avant de décider d'un traitement. Certains médicaments pour le traitement de la maladie de Parkinson comprennent les inhibiteurs de la cholinestérase et les inhibiteurs de la dopamine.